Cosimo Cavallo ( Turin, 1968)

Cosimo, alias Fabio Elettroni, vit et travaille à Turin, est parmi les artistes soutenus par Torino Mad Pride (madpridesito.jimdo.com) et est parmi les artistes mis en avant par Mai Visti et Altre Storie (www.maivisti.it) édité par Arteco. A 20 ans, il tombe amoureux de la peinture surréaliste et après un diplôme à l’ académie Albertina, avec une thèse sur le concept de superficie dans le cinéma de Fellini, il travaille durant un certain temps comme éducateur avec des patients en psychiatrie, se marie et a une fille.

A l’heure actuelle, pour la plupart des turinois, il est seulement une personne qui crie dans les parcs.

Il a vécu durant plusieurs années dans la rue, mais depuis peu a trouvé à se loger à la Cavallerizza qui est occupée.

Jusqu’à l’exposition à Amantes et à l’exposition personnelle à Rizomi Art Bru, avec le catalogue édité par Luca Atzori et Nicola Mazzeo, à peu ils savaient qu’il était un artiste.

Il est présent à Trailer, collectif itinérant du projet Mai Visti et Altre Storie, depuis la première étape du 2014 à InGenio Arte Contemporanea. Il a participé à Mi stavo imbattendo nell’infinito et mi sono ritrovato qua, édité par Beatrice Zanelli et Annalisa Pellino di Arteco pour l’occupation artistique Stare, édité par Alessia Panfili et Luca Atzori, Palazzo Barolo, 2015 et l’installation ultérieure au Museo Tornielli, Ameno.

Il est le protagoniste de La stocastica un film de Wermir Werner Swarzenfrei.

En 2016 il est à Palazzo Barolo dans la double exposition personnelle: Tramare. Di filo in segno et di luogo in logo avec Giustino Caposciutti, édité par Alessia Panfili et Tea Taramino;  dans la même année, il y a le documentaire Cosimo du directeur Matt Giorelli (www.cinemaitaliano.info/cosimo). En 2017 il est avec les Cervelli medusa dans la triple exposition personnelle. Nel folto del segno, édité par Roberto Mastroianni , InGenio Arte Contemporanea.

En 2018 il participe au collectif Visioni fra cielo e terra: Giorgio Barbero & C, édité par Tea Taramino et Alessia Panfili, auprès de la galerie Gliacrobati.